L’art contemporain, représentation de la modernité et la jeunesse, rencontre des nombreux espaces donc des collectionneurs s’y rendent. En ces mois d’octobre et novembre, la représentative capital de l’art, Paris, se convertit à une programmation aussi nombreuse qu’éclectique.
Présente depuis 1974, la Foire International d'art contemporain dans sa 34ème édition se réintègre au centre historique de la capital. Cette foire international compte des projets spéciaux comme le YCI qui invite des jeunes commissaires d’expositions issus des quatre coins du monde. Et inclue, le prix Marcel Duchamp, crée en 2000, qui récompense un artiste français, travaillant dans le domaine des arts plastiques et visuels.
Cette année 2007, le Grand Palais, qui en plus de recevoir la Fiac, présente l’exposition événement de la rentrée « Design contre design » et accueille également, l'expo Gustave Courbet. On joint les expositiones off, Slick et Show Off qui montrent aussi des galeries françaises et étrangères. En sommet, d’autres lieus d’art comme celles du Centre Pompidou, la Maison Guerlain ou le Palais du Tokyo, aussi audacieux.
Cette fois, tante nombreuse variété a crée de commentaires de conflit entre les Elysées et la Fiac qui accuse aux Elysées devant le tribunal de commerce de Paris de "parasitisme commercial constitutif de concurrence déloyale". Le journal « Le Monde » du 22 octobre opine que - en tout cas le tort des Elysées est se servir du rayonnement de la FIAC pour attirer des collectionneurs du monde entier -. En secours juridique la FIAC trouve le soutien du maire du 8e arrondissement, l'UMP François Lebel, qui appuie, lui aussi opposé à cette manifestation "en concurrence directe" avec la FIAC. Heureusement, ces réactions n'empêchent pas l’attractive de la Fiac aux exclusifs invités de cette qualitative et quantitative exposé de progrès dans l'art actuel et de représentation de la scène française (45% d'entre eux sont français!).
« Le Monde » cite: - En 1863, Napoléon III donnait son autorisation à l'organisation du Salon des refusés à quelques pas du Salon officiel. Le jury de ce dernier protesta, mais l'empereur décida de "laisser le public juge" : Manet, Pissaro, Fantin-Latour et quelques autres exposèrent avec succès en même temps que les peintres retenus par l'institution.- Est-ce que cette fois les nombreuses propositions d’art dérange pour être espaces de proteste ou simplement sont vus comme nombreuses concurrentes? En tout cas parler d’un « parasitisme commercial », nous ramène à parler des clients, des ouvres en offre et d’une entrée à 25 €. Les organisateurs des Elysées vient de retrouver les contraintes d’une mission du ministère de la culture et les efforts de dynamiser « une des politiques moins redistributives de notre pays » paroles du président français Nicolas Sarkozy.
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